Au printemps, sur la plage, rien au large,
L’océan contre deux surfeurs,
L’océan est vain coeur.
Un château de contes de fées,
Un château de contes de fées,
Dont les remparts bravent la marée.
Paradis des jeux d’enfants,
Pour les petits comme pour les grands.
Les chiens courent, les enfants rient,
Ils respirent, la planète aussi.
Un chercheur d’or,
Rêve de trésors.
Une âme en peine,
Pleure celle qu’elle aime.
Dans le vent, tout fout le camp,
Les maux passés et présents.
La nuit passe,
Les traces s’effacent.
Au printemps, sur la plage, rien au large…